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20 août 2017

Des tirs de tracteur, façon L’Épiphanie

©(TC Media - Martin Lafortune)

ÉVÉNEMENT. Pour une septième année consécutive, la Paroisse de L’Épiphanie a fait la fête au parc Goyette. Au menu : jeux gonflables, musique country, mais surtout une compétition de tirs de tracteurs. 

©(TC Media - Martin Lafortune)

Michel Forest, un compétiteur de L’Assomption, et Denis Lévesque, le maire de la Paroisse de L’Épiphanie, affirment que la plus belle compétition de tirs de tracteur est celle de L’Épiphanie.

©(TC Media - Martin Lafortune)

Michel Forest possède une trentaine de tracteurs sur lesquels il peut investir 300 heures et 10 000 $ en restauration.

©(TC Media - Martin Lafortune)

Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

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Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

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Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

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Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

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Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

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Avec leur tracteur, les compétiteurs tirent des charges de 3000 à 10 500 livres, selon le poids

« Nous sommes une municipalité agricole. Une compétition de ce type est donc le meilleur élément pour nos festivités, affirme le maire de la Paroisse de L’Épiphanie, Denis Lévesque. Il y a environ neuf compétitions de ce type, à travers le Québec. Les participants disent que c’est ici que se déroule la meilleure de toute. »

Encore une fois, cet événement a attiré plusieurs participants de partout au Québec.

« Ce sont de véritables passionnés, assure M. Lévesque. Il y a des participants viennent d’aussi loin que Saint-Clet ou même Saint-Hyacinthe. »

Mais des passionnés, il y en a aussi de la MRC de L’Assomption. C’est le cas de Michel Forest, de L’Assomption, qui possède une trentaine de tracteurs, tous plus bichonnés les uns que les autres.

« L’un de mes tracteurs était la propriété de mon père, jadis, raconte-t-il. Il a été vendu à notre voisin. Puis, au décès de ce dernier, il a été transféré à un autre propriétaire. Je l’ai retrouvé. Il était encore dans son état d’origine, avec ses pièces d’origine, et j’ai voulu l’acheter. Je l’ai payé beaucoup trop cher, mais j’ai acheté des sentiments. »

Pour s’amuser

Pour des passionnés comme M. Forest, restaurer un tracteur peut prendre jusqu’à 300 heures et peu coûter très cher.

« Pour une vraie restauration, il faut figurer 10 000 $, mentionne-t-il. On fait cela pour s’amuser, pas pour une raison économique. »

En ce qui concerne les compétitions qui découlent de cette passion, elles sont régies par le poids des tracteurs.

« Tout le monde est standard dans chaque classe, explique le compétiteur. Tous les tracteurs d’une catégorie ont le même poids et l’attache est installée à la même hauteur. C’est plus juste pour tous les compétiteurs. »

Lors de la compétition supervisée par l’Association des machineries antiques de la Montérégie, les tracteurs doivent tirer des charges allant de 3000 à 10 500 livres.

« Lors de la compétition, on sait ce qu’il ne faut pas faire, rigole Michel Forest. Mais on découvre chaque fois un peu plus ce qu’il faut faire. »

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