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08 mai 2017

Renée-Claude Doucet - rcdoucet@medialo.ca

L’intimidation, il faut en parler

Un message qui persiste depuis 20 ans

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

SENSIBILISATION. Le programme Protection du voisinage de la Ville de Repentigny poursuit sa mission auprès des jeunes. Les élèves sélectionnés offraient récemment une dernière représentation de la pièce de théâtre «Faut qu’on s’en parle» avant de confirmer son retour l’année prochaine.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

©Photo TC Media - Stéphane Grégoire

Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.

Depuis 20 ans, l’équipe de la Protection du voisinage met sur pied une pièce de théâtre en lien avec la thématique de l’intimidation. L’œuvre est présentée aux élèves du deuxième cycle du primaire des écoles de Repentigny, à raison de six institutions par année. En 2016-2017, ce sont les élèves de Tournesol, La Majuscule, Valmont-sur-Parc, Le Bourg-Neuf, Pie-XII et Longpré qui ont eu l’occasion de voir la pièce. L’an prochain, six autres écoles seront sélectionnées.

L’opinion des jeunes

Cette année, les spectateurs ont pu profiter d’une version renouvelée de la présentation. Les responsables ont fait appel à Patricia Claude, enseignante à l’école secondaire Jean-Baptiste-Meilleur (JBM), pour diriger le projet. Vingt-quatre élèves du PEI, issus des cours d’arts dramatique, de la 3 à la 5e année du secondaire, ont été mandatés afin de donner vie aux personnages de la pièce, divisée en sept actes.  

«On aborde la cyber manipulation et la cyber intimidation, des thèmes qui accrochent les élèves», précise Gaétan Grenier, coordonnateur du programme Protection du voisinage.

C’est dans l’air du temps d’aborder l’intimidation et le taxage. Le défi des écoles est de trouver un moyen de prévenir tout ça. -Gaétan Grenier, coordonnateur du programme Protection du voisinage.

Il s’agit d’un bon moyen de prévention. «C’est dans l’air du temps d’aborder l’intimidation et le taxage, par exemple. Le défi des écoles est de trouver un moyen de prévenir tout ça. Le message lancé avec la pièce est qu’il  faut en parler, d’où le titre ‘’Faut qu’on s’en parle’’ et ne pas être gêné d’aller cherche de l’aide.»  

À la fin de chaque segment, un résumé de la scène est présenté. Puis, au terme de la pièce, un retour est effectué sur l’ensemble de la présentation.

«Je parle avec les élèves pour savoir ce qu’ils ont compris, ce qu’ils retiennent. Ils peuvent poser des questions aux comédiens; c’est également une occasion de découvrir ce qu’est le théâtre», ajoute M. Grenier.

Les jeunes sont également appelés à répondre à un questionnaire à la suite de la pièce. Parmi tous les participants, vingt élèves se sont mérité cette année un cadeau d’une valeur de 50$, grâce à la participation de la Caisse Desjardins Pierre-Le Gardeur, et six ont reçu un séjour d’une semaine dans un camp de jour de la Ville de Repentigny, gracieuseté du Service de police et du Service des incendies de Repentigny.  

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