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La Fête du Petit Village fait rayonner les Premières Nations
Une sixième édition des plus rassembleuses
©TC Media - Stéphane Grégoire
PATRIMOINE. Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général pour faire ses emplettes. Du 15 au 17 septembre, la rue du Village, dans le secteur Le Gardeur de Repentigny, a ainsi remonté le temps de près de 200 ans.
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
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Pour une sixième fois, La Fête au Petit Village a plongé ses visiteurs à l’époque où l’on télégraphiait des messages à nos proches, où le coureur des bois constituait un personnage clé dans la traite de fourrure et où l’on se rendait au magasin général po
« Il n’y a pas d’autre événement comme celui-ci. C’est vraiment unique de mettre en valeur le patrimoine vivant et bâti ainsi et ce ne sont pas seulement des gens de Repentigny qui viennent, mais bien des amateurs d’histoire de partout », résume Louis-Philippe Lemay, coordonnateur de La Fête au Petit Village.
Plus de 25 métiers d’autrefois étaient ainsi représentés grâce à des artisans qui se réjouissaient de pouvoir partager leur passion aux passants sous une température des plus clémentes.
L’événement qui se tient aux deux ans avait une fois de plus laissé la place à ses grands classiques, tels qu’une messe le dimanche où une famille et un organisme de la région sont honorés. Cette fois, la famille Juneau ainsi que les Chevaliers de Colomb ont été choisis.
Pour les traditionnels contes de la galerie du samedi soir, toutes les villes de la MRC de L’Assomption ont pris part à l’activité. En effet, un conte a été rédigé pour chacune d’entre elles. Près de 350 personnes ont assisté au dévoilement des contes inédits.
Les Premières Nations à l’honneur
Un événement qui a retenu l’attention, selon le coordonnateur de La Fête, est sans contredit la signature de la déclaration de solidarité entre la communauté Atikamekw de Manawan, le centre d’amitié autochtone de Lanaudière (CAAL) et la Ville de Repentigny.
« Le rassemblement protocolaire a duré près d’une heure et les 400 personnes présentes étaient très attentifs, se réjouit M. Lemay. Il s’agit d’un pacte de reconnaissance, de leur travail et de leur présence sur le territoire. »
À la suite de cette signature historique du vendredi soir, qui a donné le ton rassembleur à cette sixième édition de La Fête au Petit Village, Yves Lambert et Reginald Echaquan ont ensuite fait vibrer la foule de leur riche répertoire musical.
La communauté autochtone constituait par le fait même «le village» invité de cette année alors que des cours de langue atikamekw, de danse traditionnelle amérindienne, un atelier sur la fabrication de panier et de canot en écorce de bouleau et bien plus, étaient au programme.
Pendant ces trois jours de festivités, les quelque 700 mètres de la rue du Village mis en valeur ont permis autant aux grands qu’aux petits de se propulser dans une époque qu’ils n’ont sans doute pas connu, mais qui leur a paru assurément passionnante.
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