Celui qui œuvre dans l’industrie du transport a multiplié les implications politiques dans les dernières années. « J’ai été membre de l’exécutif du comté de L’Assomption (Repentigny), j'ai siégé à la table régionale de Lanaudière, de Montréal et j'ai été membre de la commission politique de l’ADQ », indique-t-il.

Pour le candidat, le Parti Conservateur du Québec s’avère le meilleur choix pour les citoyens. « Je consacre beaucoup de temps à faire du Québec le meilleur endroit pour vivre au monde. Incapable d’assister à la direction que prend le Québec, j’ai choisi le parti conservateur du Québec parce qu’il est le seul parti qui offre vraiment des solutions à nos problèmes », témoigne-t-il.

Secteur privé

Le programme des Conservateurs se penche notamment sur la gestion des hôpitaux, qui serait remise entre les mains de secteur privé. « Ce serait des hôpitaux publics, gérés par le privé. Ça se fait ailleurs dans le monde, notamment en Suède, et le taux de satisfaction est très élevé. »

Côté éducation, M. Lacombe mise sur l’abolition des Commissions scolaires. « Le pouvoir résiderait entre les mains des directeurs d’écoles, afin que chaque école puisse choisir sa couleur et ses orientations. » Le parti remettrait également des « bons d’éducation » aux parents afin que ces derniers puissent choisir eux-mêmes l’école de leur enfant selon ses aptitudes, entre autres. « Terminé les histoires de bassin et les secteurs définis », précise-t-il.  

Selon le candidat et son parti, il faut aussi revoir le fonctionnement des entreprises, qui gèrent pour la plupart les employés selon leur ancienneté. Il estime également que les salaires des dirigeants devraient être connus et aspire à une transparence au niveau syndical.

Enfin, M. Lacombe partage ce message avec les électeurs : « La meilleure stratégie est de voter selon ses convictions. Vous voulez un gouvernement qui fera baisser les taxes et qui développera le réseau routier, alors il fait voter pour le Parti Conservateur du Québec. »