Culture
Retour28 avril 2019
Pierre Chartier - pchartier@medialo.ca
Horizons lointains à la rencontre de deux mondes
©Photo-archives
L’ensemble canadien Constantinople et l’ensemble belge Belem nous arrivent avec une nouvelle création qui promet de vous transporter dans un monde sonore riche grâce à son originalité musicale
Le 1er mai à 20 h au Centre d’art Diane-Dufresne se tiendra l’avant-dernier concert de l’Aramusique, intitulé Horizons lointains. Ce concert est l’aboutissement de la rencontre entre les mondes de l’accordéoniste Didier Laloy et Kiya Tabassian et leurs complices respectives.
L’ensemble canadien Constantinople et l’ensemble belge Belem nous arrivent avec une nouvelle création qui promet de vous transporter dans un monde sonore riche grâce à son originalité musicale et sa virtuosité. Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance d’assister à un concert qui intègre le sétar, le kanun, l’accordéon diatonique et le violoncelle. Ne ratez pas cette occasion d’apprécier tous ces beaux instruments.
Kiya Tabassian et Didem Basar, deux compositeurs aguerris, se sont produits sur les scènes internationales à de multiples reprises. Tous deux auront eu la chance de présenter leurs créations dans certaines des salles de concert et festivals du monde : Pleyel à Paris, Philharmonie à Berlin, Festival BOZAR à Bruxelles et plusieurs autres. Leur ensemble, fondée en 1998 à Montréal a choisi de faire du voyage son fondement, d’où leur sonorité particulièrement unique.
Formé de Didier Laloy et de Kathy Adam, deux brillants musiciens, leur ensemble peut être qualifiée d’atypique. Le duo a réfléchi à toutes sortes d’expériences sur la musique de chambre, de sorte qu’aujourd’hui, ils ont dans leur bagage de compositions à la croisée de toutes ces expérimentations musicales. Ainsi, leur musique est à la fois forte et simple, surprenante et nous font vivre un voyage musical hors du commun. (PC)
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