Sports
Retour31 octobre 2019
Pierre Chartier - pchartier@medialo.ca
Jules Chouinard, le Robin des bois des temps modernes
Il se passionne pour le tir à l’arc
©Photo Hebdo Rive Nord-Pierre Chartier
Jules Chouinard vit sa passion du tir à l’arc depuis maintenant trois ans.
Depuis maintenant trois ans, Jules Chouinard se dévoue corps et âme à sa passion, soit le tir à l’arc. Pour ce jeune homme de 16 ans, il n’y a pas plus passionnant que de tirer sur des cibles. Et cette passion pour ce sport pourrait l’amener très loin, car son but ultime est une participation aux Jeux olympiques.
Bien installé dans la salle de préparation des arcs dans le local du Club de tir à l’arc ACP de Repentigny, Jules parle avec passion de son sport de prédilection.
«J’ai toujours adoré le film Robin des bois, je me vois à cette époque et j’adore pratiquer ce sport. Il y a quelque chose de magique dans cette pratique, c’est vraiment plaisant, je le recommande à tout le monde.»
- Jules Chouinard
Jules était un adepte du ski de compétition avant de se lancer dans cette aventure. Il y a trois ans, il pratiquait avec un arc à poulies, mais maintenant il a changé pour un arc de style olympique.
Un sport exigeant
Ne pratique pas qui veut le tir à l’arc, car ce sport demande des qualités physiques et mentales de grande précision. «Je pense que ce que j’aime le plus dans cette pratique sportive c’est d’être capable de se concentrer pendant trois heures sur la cible à atteindre. La précision et les efforts que ça demande m’apporte beaucoup de satisfaction», d’ajouter le jeune athlète.
Lors des derniers championnats canadiens qui se déroulaient en Saskatchewan, Jules a terminé en 2e position dans sa catégorie, ce qui lui a valu une participation au championnat mondial qui a eu lieu en Europe; ce n’est pas rien pour l’archer de 16 ans.
Il pratique aussi son sport au Centre d’entraînement de Montréal où il s’entraîne avec les meilleurs au Canada.
Il n’est pas si loin non plus le temps, pour le jeune homme, de prendre part aux qualifications qui vont le mener vers les Jeux olympiques, ça reste dans les plans à long terme, mais pourquoi ne pas y penser maintenant? Un bel avenir s’ouvre pour l’athlète qui s’entraîne près de 18 heures par semaine pour développer sa passion.
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