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11 février 2020

Sarah Élisabeth Aubry - seaubry@lexismedia.ca

Monique Pauzé dénonce les coûts liés à l’agrandissement de Trans Mountain

Un projet qui dépasse l’intérêt environnemental

Monique Pauzé

©Photo gracieuseté – Caroline Mireault - Hebdo Rive Nord

La députée de Repentigny et porte-parole en matière d’environnement du Bloc Québécois, Monique Pauzé dénonce les coûts et le désastre environnemental qui émane de l’expansion de l’oléoduc Trans Mountain.

Alors que le Bloc Québécois a toujours montré son opposition au projet, la députée de Repentigny et porte-parole en matière d’environnement pour le parti, Monique Pauzé a dénoncé l’explosion des coûts de construction liés au réseau d’oléoducs Trans Mountain.

Déplorant le dépassement des coûts faramineux, elle maintient que le projet impactera l’environnement. « En fin de compte, les Québécoises et les Québécois devront payer le quart d’une facture qui s’élève maintenant à plus de 17 milliards de dollars pour un pipeline dans l’ouest servant à l’exportation du pétrole le plus polluant de la planète, il s’agit d’un projet complètement inacceptable », déplore-t-elle.

Les coûts de construction pour l’expansion de Trans Mountain sont ainsi passés de 7,4 milliards à 12,6 milliards de dollars. Rappelons que le gouvernement Trudeau a fait l’acquisition de Trans Mountain en 2018 pour 4,5 milliards de dollars. Malgré les contestations de la population de la Colombie-Britannique et des communautés autochtones, les libéraux voulaient aller de l’avant avec l’agrandissement du pipeline.

Monique Pauzé croit que si le projet Énergie Est serait construit, cela constituerait un risque important pour l’environnement au Québec. Elle estime qu’Ottawa ne peut voir aux changements climatiques, puis cautionner la construction de pipelines.

« Tous les projets sous juridiction fédérale passant ou étant situés au Québec devraient être soumis aux lois du Québec, tel que je l’avais proposée avec le projet de loi C-392 », fait-elle part.

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