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Santé

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16 janvier 2022

Mélissa Gaudreault - mgaudreault@medialo.ca

La CNESST exige l’utilisation accrue des masques N-95

Protection des travailleuses et travailleurs de la santé

Masques N-95

©Photo archives Hebdo Rive Nord - Hebdo Rive Nord

La CNESST souhaite élargir l’obligation du port du masque N-95 afin de protéger les travailleurs de la santé contre la pandémie qui est de plus en plus dangereuse.

Devant la recrudescence des cas de COVID-19 et l’arrivée du variant Omicron, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a amorcé une rencontre avec ses partenaires et collaborateurs pour répondre à leurs préoccupations et échanger avec eux sur l’utilisation des masques N-95 par les travailleurs et les travailleuses du milieu des soins de santé.

À l’égard de la protection de la santé des travailleurs et des travailleuses, la CNESST avait déjà demandé, à partir de février 2021, le port d’un appareil de protection respiratoire (APR) de type N-95 ou de protection supérieure pour tout le personnel de la santé qui œuvre en milieu de soins dans les zones chaudes et, dès mars 2021, elle a élargi cette obligation en zone tiède également.

La CNESST est sensible à la réalité des travailleuses et travailleurs de la santé qui n’ont actuellement pas l’obligation de porter un masque N-95, car ils sont hors des zones tièdes ou chaudes, mais donnent des soins dans les situations plus à risques. La rencontre a permis d’échanger sur les façons les plus efficaces de protéger les travailleurs et les travailleuses du milieu des soins de santé et, devant la progression du variant Omicron, la CNESST exige l’élargissement de la couverture et de l’utilisation du masque N-95 à celles et ceux qui donnent des soins dans les situations les plus à risques, incluant certaines situations en zones froides.

Conseil d’experts

La CNESST est en contact constant avec ses partenaires, l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST), l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) ainsi que les centrales syndicales, dans un esprit de dialogue et d’ouverture pour travailler sur les différentes préoccupations exprimées et ainsi de relever les défis que pose le variant Omicron.

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