Alexia Roussille, étudiante en Sciences de la nature, s’est méritée la première position avec sa critique de l’œuvre « Une odeur d’avalanche », de Charles Quimper. En plus de la licence Antidote remise aux auteurs des trois textes gagnants, la lauréate aura l’honneur de voir sa critique publiée dans la revue Les Libraires. De plus, elle rejoindra le prochain comité de sélection du Prix des Horizons imaginaires.

Florence Karadjov, étudiante en Sciences humaines, profil Monde, a quant à elle remporté le deuxième prix. Elle se mérite une licence Antidote pour l’excellence de sa critique de « Highlands », de l’autrice Fanie Demeule.

Le concours de critique littéraire s’adresse aux étudiants des différents jurys locaux et consiste à rédiger une critique en français de leur œuvre favorite parmi les trois livres finalistes de l’édition en cours du Prix des Horizons imaginaires.

Le Prix des Horizons imaginaires est un prix littéraire à jury étudiant intercollégial. Il rassemble des jeunes autour de la lecture et du débat et récompense l’autrice ou l’auteur d’une œuvre relevant des littératures de l’imaginaire francophones d’ici.

Pendant la session d’automne, les étudiants lisent les trois œuvres finalistes, en discutent dans le cadre d’activités pédagogiques encadrées par des employés des établissements participants et prennent part à des rencontres avec les autrices et auteurs. En novembre, les étudiants des différents collèges se réunissent au Salon du livre de Montréal pour les délibérations finales et la remise du Prix des Horizons imaginaires.

L’autrice Fanie Demeule et son récit Highlands ont été couronnés vainqueurs de cette 7e édition.