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10 juillet 2017

Sarah Élisabeth Aubry - seaubry@lexismedia.ca

Une initiative artistique qui est là pour rester

Quatre nouvelles murales historiques installées au Collège de l'Assomption

©Photo TC Media –Sarah Elisabeth Aubry

Elles sont huit étudiantes motivées, passionnées, talentueuses, qui n'ont pas eu peur de s'investir durant un an de temps, afin de contribuer à un projet dans le cadre du 300ème de la Ville de L'Assomption. Ce qui importe pour ces artistes, c'est de laisser un héritage au patrimoine, puis de léguer des œuvres racontant le parcours du Collège de l'Assomption.

Annie Moreau, directrice générale du Collège de l'Assomption, explique que la Ville de L'Assomption a lancé un appel de projets pour célébrer le 300ème. De ce fait, c'est l'enseignante Isabelle Marion qui a décidé de prendre en charge le travail.

Elle a su insufflé une énergie et c'est de cette facon qu'on vient à bout de grandes réalisations. -Annie Moreau, directrice générale du Collège de l'Assomption

C'est donc grâce aux fonds offerts par la Ville que les créations artistiques ont pu prendre forme. Mme Moreau fait part que les étudiantes se sont beaucoup renseignées sur l'histoire du Collège à l'aide d'ouvrages et de documentations pour être en mesure de réaliser les murales qui seront affichées sur le toit vert de l'établissement scolaire, pavillon construit en 2008. Il constitue l'allée culturelle du Collège.  

Annie Moreau a tenu à spécifier qu'autrefois, le Collège constituait un des premiers bâtiments de la municipalité, voire le cœur de celle-ci. En plus de la proposition retenue pour les murales, le Collège a tenu en janvier dernier l'événement La Classique hivernale, soit un match familial et convivial d'hockey offert à tous, autre projet retenu pour le 300ème de L'Assomption.

Une enseignante plus que satisfaite de ses artistes

« J'ai adoré le contact avec les adolescentes. Elles se sont avérées humbles, talentueuses et dévouées à travers leurs démarches », mentionne Isabelle Marion, l’enseignante qui a encadré et motivé jusqu'au bout les jeunes artistes du deuxième cycle du secondaire.

©Photo TC Media –Sarah Elisabeth Aubry

Les huit artistes-peintres, Laurianne Favreau, Mélodie Lajoie, Camille Shurbajj, Océane Langlois, Marie-Perle Deschâtelets, Thaîna Louis-Jeune, Sofiane Poirier et Joelle Fagnant se sont impliquées durant un an de temps, afin de mettre à terme un projet de

« Elle a su insufflé une énergie et c'est de cette facon qu'on vient à bout de grandes réalisations », mentionne Mme Moreau.

Lauriane Favreau, étudiante au Collège a décidé de s'impliquer pour diverses raisons. « J'aime la peinture et ce qui était bien à travers ce projet c'était de montrer l'histoire de notre collège et la Ville en même temps, précise-t-elle. Ce qui est motivant c'est de savoir pourquoi on le fait », renchérit l'artiste.

En plus des murales peintes, les jeunes artistes ont aussi accompagnées leur travail de gravures affichant des renseignements afin de bonifier leur projet.

©Photo TC Media –Sarah Elisabeth Aubry

Quatre thèmes se sont développés pour être en mesure de créer et de représenter l'histoire du Collège de l'Assomption. Il est possible de retrouver les murales de l'éducation, les activités, les élèves et la fondation possédant chacune une gravure détaill

Un livret a été réalisé où des personnages, puis des lieux marquants rattachés à l'établissement sont abordés. Ces créations artistiques ont un impact sur la communauté, reflète le talent des élèves tout en rappelant la richesse de l'institution.

Soulignons que quatre nouvelles murales sont installées, en plus de deux autres qui étaient déjà dans le décor du toit vert du Collège de l'Assomption. Pour ceux qui désirent en savoir sur l'histoire, les traditions et l'héritage laissée par l'institution, il est possible de se procurer un petit livret au coût de 2 $ à la réception de l'établissement scolaire.

©Photo TC Media –Sarah Elisabeth Aubry

Deux murales étaient déjà affichées et ont des significations différentes. Celle de gauche représente le Collège et des aspects architecturaux de la Ville, puis celle de droit fait référence au voyage humanitaire au Guatemala fait par des élèves de deuxiè

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