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23 mars 2021

Pierre Chartier - pchartier@medialo.ca

Carol-Anne Vézina vise le grand marché américain

La danse c’est sa vie

Carol-Anne Vézina

©Photo gracieuseté

Carol-Anne Vézina vise le marché américain.

Carol-Anne Vézina, une jeune fille de Repentigny, secteur Le Gardeur, a atteint de nouveaux sommets dans le monde fort compétitif de la danse. Plusieurs portes s’ouvrent à elle, mais le plus grand désir de cette jeune femme c’est de percer le milieu aux États-Unis. Elle travaille déjà sur ce projet d’envergure.

Très jeune, c’est à l’âge de 5 ans qu’elle débute sa carrière: «C’est drôle de me rappeler ces souvenirs, car à cet âge je n’aimais pas ça du tout. C’était mes parents qui m’avaient inscrite à des cours, mais j’ai arrêté. Ma passion pour la danse a débuté vers 9 ans où, là, je ne suis donnée à fond. La danse est plus qu'une passion pour moi, c'est un mode de vie. J'ai notamment fait une apparition dans votre journal à l'âge de 12 ans à la suite de mon passage à l'émission Le Match des Étoiles à Radio-Canada, ainsi qu’un peu plus tard lorsque mon équipe de danse et moi se rendaient au Championnat du monde de Hip-Hop à San Diego.»

 

Carol-Anne est maintenant âgée de 25 ans et sa passion est toujours aussi présente dans sa vie: «Depuis le début de ma carrière, je n'ai fait que poursuivre ma passion et ma carrière en dansant dans différentes émissions de télévision connues, dont Les Dieux de la DanseEn Direct de L'Univers, Le Gala ArtisLa Voix où j'ai eu la chance de danser auprès de Kelly Clarkson et Jean Leloup, pour ne nommer que ceux-là. Et maintenant que cette pandémie est venue créer un énorme nuage au-dessus de nos têtes, je réussis tout de même, et ce, heureusement, à continuer à faire ma place au sein du milieu artistique au Québec.»

@ST:Plusieurs contrats malgré la pandémie

@R:Pas facile d’œuvrer dans le milieu artistique durant la crise de la COVID-19. Malgré tout, la jeune danseuse de Repentigny a repris ces derniers temps le travail avec l’obtention de plusieurs contrats. Elle se dit très contente que les événements reprennent graduellement dans le milieu artistique. «Il y a deux mois, j’ai notamment dansé dans l’émission la plus regardée de l’histoire c’est-à-dire le Bye-Bye 2020 dans le sketch de la PCU avec Mehdi Bousaidan, Fouki et Claude Legault. Par ailleurs, j’ai dansé pour le lancement de la chanteuse Marion Brunelle où nous avons tourné un spectacle virtuel. J’ai également participé au shooting photo de la nouvelle collection Point Zéro et vous avez également pu me voir dans l’émission le Gala Célébration auprès de Bleu Jeans Bleu, Roxanne Bruneau et Guylaine Tanguay. Finalement, j'ai eu la chance il y a quelques jours de participer à l'émission Star Académie pour le numéro d'ouverture ainsi que le deuxième variété, une expérience incroyable. Jamais je n’aurais pensé remonter sur scène aussi tôt avec tout ce qui se passe présentement, je me sens vraiment privilégiée», raconte Carol-Anne.  

 

Elle poursuit: «Évidemment, cette pandémie vient avec tous ses nouveaux défis et rend notre métier plus complexe. Elle nous oblige à adopter de nouvelles formalités, c’est-à-dire signatures de décharge et formulaires avant chaque répétition ou tournage, prise de température lors de l’arrivée sur les lieux, une personne engagée et dédiée uniquement pour s’assurer du port du masque et des lunettes sur le plateau, changement de masque en mi-journée, etc. Mais le plus gros défi est d’apprendre à danser et performer avec un masque pendant des répétitions de 4 heures et plus, croyez-moi cela fait travailler notre cardio, car il rend la respiration très difficile. De nouvelles habitudes à acquérir mais qui, d’un autre côté, nous rend si heureux de nous permettre de reprendre et de continuer à exercer notre métier.»

 

La prochaine étape pour Carol-Anne sera d’obtenir un visa de travail pour les États-Unis, dossier sur lequel elle travaille depuis un certain temps mais qui est sur pause durant la pandémie: «J’ai vraiment le goût d’aller à Los Angeles ou à Miami pour percer le marché américain. Ça va être difficile, mais je sais que si je ne le fais pas, si je n’essaie pas, ce n’est pas moi ça. Je suis fonceuse, j’ai confiance en mes moyens et j’ai la capacité de réussir cette nouvelle aventure.»

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